"Euh… non" : gros malaise dans Quotidien, Yann Barthès déroule une mauvaise information
Hier à 01:29 AM
Ce mercredi 13 novembre 2024, Yann Barthès a reçu sur le plateau de Quotidien José Garcia et son partenaire de jeu Joachim Arseguel pour le film Le panache, réalisé par Jennifer Devoldère, à découvrir dans les salles obscures le mercredi 20 novembre prochain. Et entre les deux comédiens, la complicité est évidente.
En effet, Yann Barthès a voulu savoir les petites bêtises qui se sont déroulées sur le tournage du film entre les deux acteurs : “Il paraît que c’était le festival de la connerie entre tous les deux”, a lancé l’animateur. Ce à quoi Joachim Arseguel lâche : “Oh la la…”, montrant ainsi que José Garcia a été largement dissipé durant le tournage de ce film.
Yann Barthès veut en savoir plus sur le tournage
Yann Barthès veut alors en savoir plus : “On peut répéter ce qu’il fait ou pas ?”. Mais hors de question pour l’acteur souffrant de bégaiement de balancer son acolyte : “Euh non”, dit-il fermement. L’animateur de Quotidien est alors revenu sur le synopsis du film : “Une très belle histoire de dépassement et d’acceptation de soi”. Le jeune acteur joue alors le rôle de Colin, 14 ans, qui fait son entrée dans un nouveau collège.
Oui mais voilà, il ne sait pas comment s’intégrer avec son handicap. Bègue, le jeune garçon va alors faire la rencontre de Monsieur Devarseau, professeur de français, qui va le pousser à affronter ses peurs. Il va même inciter le jeune homme à monter sur scène pour jouer Cyrano devant toute l’école.
Un film qui prône la tolérance et l'acceptation de l'autre
Pour France 3, l’acteur a alors révélé ne pas être si éloigné de son personnage : “À force de nombreuses séances d'orthophonie, de nombreuses séances de coaching”, il se dit prêt pour incarner Colin.
"On voulait prendre une personne qui bégayait. Très vite, on est tombé sur le casting de Joachim, une vidéo qui nous avait été envoyée via son orthophoniste. On a eu un coup de cœur. Ça a toujours été Joachim. On ne voulait personne d'autre. Je pense que ça a nourri énormément le film, nourri de sa problématique et de son histoire et d'une certaine véracité. On ne triche pas dans le film et je trouve que ça lui apporte beaucoup”, précise la réalisatrice.