Bernard-Henri Lévy : "J'ai souvent tenté de me guérir", ce mal incurable dont le mari d'Arielle Dombasle est atteint

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C'est l'une des histoires d'amour les plus médiatisées en France. Rien ne peut séparer Bernard-Henri Lévy et Arielle Dombasle. Malgré les années, le couple continue de se vouvoyer. "Elle me vouvoiera probablement jusqu’à mon dernier souffle", confirme le philosophe dans une interview accordée à nos confrères du Figaro.

Celui-ci explique : "Ce n’est pas plus intime de se tutoyer que de se vouvoyer, ça implique toute une épaisseur de relation entre les deux personnes et on ne change pas de mode d’adresse comme on change de chemise". Frappé par la maladie d'amour depuis plusieurs décennies, l'homme de lettres souffre également d'un tout autre genre de mal incurable.

Bernard-Henry Lévy : de quelle maladie n'arrive-t-il pas à guérir ?

Dans une interview publiée par Le Parisien cette semaine, Bernard-Henri Lévy explique souffrir d'une terribleinsomnie chronique. "J'ai toujours mal dormi, admet-il. Même enfant. Mais le vrai point de bascule, c'est après, au sortir de l'enfance." Selon lui, ce mal incurable prendrait racine dans son incapacité à "lâcher prise".

Néanmoins, le compagnon d'Arielle Dombasle assure avoir tout essayé pour retrouver le sommeil. "J'ai souvent tenté de me guérir", insiste-il dans les pages du quotidien francilien, confirmant : "Je crois bien avoir tout essayé, en effet, toutes les techniques, toutes les machines, tous les remèdes possibles, tous les instituts. Du sommeil partout". Rien n'aurait fonctionné.

Bernard-Henry Lévy : ce remède dont il ne peut plus se passer

Malgré tout, BHL parvient à se reposer grâce aux somnifères, un remède "formidable", selon lui, qui "permet de tomber dans le sommeil d'un coup". Celui-ci nuance : "Mais ça vous fait aussi vous réveiller d'un coup - et ça c'est plutôt dommage car ça vous prive du plaisir voluptueux que j'avais autrefois à franchir les portes du sommeil".

Bernard-Henri Lévy parvient cependant à se passer de somnifères dans certaines conditions. "Quand je suis en reportage, pour des raisons évidentes de sécurité, je n'en prends pas", précise le romancier, évoquant la nécessité de "pouvoir se réveiller en pleine nuit et bouger à tout moment". Le cas échéant, il lui arrive de rester trois jours sans fermer l'oeil…

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