Mort de Jean-Luc Petitrenaud : cette maison dont il était tombé amoureux à Barfleur où il aimait se ressourcer
01/11/2025 04:36 AM
Le groupe France Télévisions a perdu l'un de ces visages les plus emblématiques cette semaine. Ce vendredi 10 janvier 2025, l'AFP a relayé une triste nouvelle : la mort de Jean-Luc Petitrenaud. Le critique gastronomique a rendu l'âme à l'âge de 74 ans. présenté les émissions Carte postale gourmande et Les escapades de Petitrenaud sur la chaîne France 5 pendant plus d'une quinzaine d'années.
Selon les informations recueillies par nos confrères, le critique gastronomique est décédé "entouré de ses proches". On ne connaît cependant pas la cause de sa mort. Ses enfants, Louise et Antonin Petitrenaud, "remercient les personnes qui l'ont tant aimé pendant ces années". Il laisse derrière lui une famille en deuil, mais également un petit coin de paradis à Barfleur, où il avait élu domicile voilà plusieurs années de cela.
Jean-Luc Petitrenaud : pourquoi était-il tombé sous le charme de Barfleur ?
S'il était d'origine auvergnate, Jean-Luc Petitrenaud avait eu un coup de coeur pour une petite commune de laManche. C'est à Barfleur que le passionné de terroir avait décidé de couler des jours heureux. "Il y a 24 ans, un ami m'a fait connaître Barfleur. J'ai eu un coup de foudre et j'ai acheté une maison", racontait-il dans une interview accordée à Ouest France en août 2016.
Celui-ci expliquait dans ce même papier : "Je suis tombé amoureux de ce côté pur et propre de la région". Il exprimait alors son désir de venir "chaque fin de semaine et profiter des saisons" dans cet "endroit où cultiver sa sérénité". "Il y en a qui vont en thalasso, moi je viens ici. C'est ma cure de jouvence", ajoutait l'homme qui a fait saliver plusieurs générations de téléspectateurs.
Jean-Luc Petitrenaud : ce petit secret sur Barfleur
Jean-Luc Petitrenaud n'avait de cesse de vanter les mérites de Barfleur dans les médias. "On peut parler de fidélité, je suis fière d'être fidèle au Cotentin et surtout à Barfleur. Ce sont des endroits, cette pointe du Cotentin où ils (les habitants) ne savent pas forcément parler d'eux parce qu'ils ont trop peur de voir des gens arriver", avait-il confié par le passé, comme le rapporte Ici.
Le journaliste gastronomique cultivait également une passion fervente pour le Cotentin et le Val de Saire : "Qu'on soit à Saint-Vaast-la-Hougue ou Barfleur, je trouve que ces deux communes possèdent de belles identités, de belles jeunes filles de bord de mer, qui sont campées là, chacune avec sa beauté et chacune avec sa prétention". On ne sait s'il sera enterré dans sa commune d'adoption.