Prince Harry aux Etats-Unis : ce mensonge sur son visa pourrait lui coûter très cher

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Le prince Harry et sa femme Meghan Markle vivent aux États-Unis depuis de nombreuses années. Le couple y a trouvé refuge après leur choix de couper les ponts définitivement avec la monarchie britannique. Une nouvelle vie qui risque cependant de devoir s’arrêter prématurément à en croire les dernières rumeurs.

En effet, l’arrivée de Donald Trump au pouvoir risque d’avoir un impact sur leur futur à court terme. Les déclarations du prince Harry dans ses mémoires pourraient lui couter cher. Après lui avoir mis sa famille à dos, elles risquent de lui coûter son visa américain.

Un départ d’Angleterre inéluctable

Avant d’arriver aux États-Unis, Harry et Meghan ont vécu plusieurs années au Royaume-Uni. Une vie sous le joug de la famille royale qui n’a pas été du goût du prince et de sa femme. La position de numéro deux dans l’ordre de succession à la couronne a en effet beaucoup pesé sur le moral de Harry, comme il l’a expliqué dans son autobiographie.

« La plupart du temps, Willy et moi n'avions rien à faire de toutes ces histoires absurdes d'héritier et de suppléant. Mais de temps en temps, je déchantais en me rendant compte qu'en un sens, tout ça comptait beaucoup pour lui ». Suite à ces révélations, le couple avait donc fait le choix de quitter l’Angleterre pour les États-Unis.

Les mémoires de Harry pourraient lui couter cher

Dans ses mémoires, le prince Harry avait notamment évoqué sa consommation de cannabis. Un loisir récréatif qu’il s’octroyait du temps de sa scolarité à Eton. Le prince a fait mention d’une légère addiction lors de son adolescence. Rien de très dramatique, mais suffisant pour lui causer des soucis plus graves maintenant que Donald Trump est arrivé à la Maison-Blanche.

« À chaque fois qu’on en avait, on réquisitionnait une petite salle de bains à l'étage, où on mettait en place une chaîne étonnamment réfléchie et ordonnée. Celui qui fumait chevauchait le lavabo à côté de la fenêtre, le deuxième s'appuyait sur la cuvette, les deux derniers s'asseyaient dans la baignoire vide, les jambes pendantes, en attendant leur tour ».

La Heritage Foundation sur le dos de Harry

La Heritage Foundation, une association d’extrême droite, a en effet décidé de chercher des poux dans la tête du prince Harry. La consommation de stupéfiants est totalement proscrite de l’autre côté de l’Atlantique. Le véritable souci se situe autour de sa déclaration d’entrée sur le sol américain. Le prince Harry a-t-il admis avoir déjà consommé de la drogue dans son formulaire d’entrée ? Il est fort probable que non, ce qui constituerait alors un parjure susceptible de lui coûter son visa.

The Mirror s’était par ailleurs fait l’écho du désamour de Donald Trump pour le second fils de Lady Di. Nile Gardiner, un des membres de la Heritage Foundation, a ainsi indiqué vouloir connaitre les détails du dossier du prince Harry. « Nous allons demander à l'administration Trump de rendre public le dossier de demande d'Harry. L'administration Biden a refusé de le faire ». Avant de poursuivre, « Harry devra rendre des comptes. J’espère que la nouvelle présidence Trump rendra publics les dossiers de candidature d’Harry afin que les Américains puissent voir par eux-mêmes ce qu’ils contiennent exactement ».

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