Nicolas Bedos condamné : Patrick Sébastien éclaircit son avis polémique et espère clore le débat

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Pour promouvoir son nouveau livre, Le carnaval des ambitieux, Patrick Sébastien n'a pas manqué de rectifier certains points sur le plateau de Buzz Tv. Ce dernier est également revenu sur ses propos concernant Nicolas Bedos.

Pour rappel, le réalisateur Nicolas Bedos vient d'être condamné à un an de prison, dont six mois avec sursis, pour agressions sexuelles par le tribunal correctionnel de Paris. "Nous sommes dans une société où pour un baiser dans le cou ou une main posée sur un jean au milieu d'une boîte de nuit, on se retrouve condamné à porter un bracelet électronique pour une durée de 6 mois". avait répliqué son avocate, Me Julia Minkowski.

Patrick Sébastien revient sur ses propos

Lors de son passage sur Buzz TV, Patrick Sébastien est revenu sur ses propos, lorsque la journaliste avait mal cité un passage de son livre. "C'est marrant, parce que j'ai eu le même truc hier avec Nicolas Bedos. C'est important que je le dise. On m'a dit que les gens gueulent, ne sont pas contents. J'ai répondu que j'ai discuté avec des gens qui pensent que, effectivement, 6 mois de prison pour avoir embrassé une fille dans le cou, c'est trop." explique-t-il.

Sauf que sa version a été modifiée par le média en question. "Et après le titre, c'est : Patrick Sébastien 'Nicolas Bedos, 6 mois seulement pour l'avoir embrassé dans le cou'" affirme-t-il en poussant un coup de gueule contre la diffamation du titre. "On m'attribue à moi ce que je suis allé chercher chez les autres. Quand vous citez quelque chose, c'est bien de tout citer."

La journaliste a mal cité un extrait sur Emmanuel Macron

L'histoire commence lorsque la journaliste évoque un passage du livre concernant Emmanuel Macron : "Et son ambition dévorante lui a fait relégué les plaisirs érotiques au second plan." dit-elle avant de se faire couper par le principal intéressé. "Non, je ne dis pas cela, je dis que je pense que."

"Ah, c'est une théorie personnelle. Vous l'écrivez." concède alors la journaliste, mais l'ancien animateur de France Télévisions n'a pas dit son dernier mot. "J'adore, j'adore, j'adore. Oui, je l'ai écrit. Je vais dire un truc, quand vous citez un truc comme ça, putain mais dites tout. Je ne dis pas que c'est le cas, je dis que je suppose que. (...) C'est une hypothèse, parce que je fais un parallèle avec les politiques car pour certains, le pouvoir sexuel est érogène, ils font de la politique pour avoir plein de relation et pour d'autres, c'est secondaire, cela passe au second plan. Mais peut-être que je me trompe complètement et que c'est un king du Kâmasûtra, mais le feeling que j'ai c'est de me dire qu'il a relégué les plaisirs de la chair, c'est une sensation."

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