Le Bachelor : "Un peu débile", Olivier Siroux, le premier candidat, pas tendre sur sa participation

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Des émissions de télé-réalité, il y en a eu un paquet... Même encore aujourd'hui, de nouveaux concepts continuent d'émerger. Mais ce dont raffolent le plus les téléspectateurs, ce sont sans aucun doute les émissions de rencontres. Qui veut épouser mon fils ?, Les princes de l'amour, L'amour est dans le pré ou encore L'île de la tentation, il y en a pour tous les goûts. Quelques années plus tôt, à l'automne 2003, l'émission Le Bachelor voit le jour en France. Un programme tout droit venu des État-Unis. "Le Bachelor, c'est un homme qui cherche l'amour, et qui a pendant quelques jours l'opportunité de rencontrer des femmes extraordinaires, il va partager des moments avec elles", explique l'animateur Stephane Rotenberg dans le documentaire 20 ans d'émissions de rencontres diffusé sur W9.

Olivier Siroux (Le Bachelor) : "c'est un truc de dingue"

"Le principe, c'est la rencontre entre un homme absolument parfait, qui a toutes les qualités, qui est riche, qui est beau et qui va avoir devant lui 25 prétendantes", surenchérit Thomas Isle, journaliste média. Olivier Siroux est le premier candidat à s'être lancé dans l'aventure. Une expérience dont il se souvient encore 20 ans plus tard. "J'ai un de mes amis qui connaissait une personne qui s'occupait du casting. Mon copain m'en parle, il me dit :' va la voir'. Je rencontre cette personne dans un café et elle me donne des cassettes VHS du Bachelor américain", se remémore-t-il, avant d'ajouter : "Je regarde ça en rentrant chez moi tranquillement, et là je me dis : 'ah mais c'est un truc de dingue'. Je commence à me prendre un petit peu au jeu. J'ai accepté de faire cette émission par esprit d'aventure".

Olivier Siroux revient sur cette première expérience

Mais très vite, Olivier Siroux se sont"hyper intimidé" et mal à l'aise devant toutes ces camarades et ces personnes. "Je n'avais jamais fait de tournage de ma vie, et il y avait une centaine de personnes autour de moi à cette époque", se remémore-t-il. "Pour la première émission, c'était énorme". "Et là, on a les filles qui arrivent avec des limousines, je les accueille une à une. Moi, gêné, je me mets à rire. Quand je revois l'émission, je me dis : mais qu'est-ce que c'est que ce rire de benêt ? Je me regarde maintenant, je me trouve un peu débile", avoue-t-il en rigolant.

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