Joey Starr répond aux accusations de violence sur son fils : "j'ai l'habitude de...

07/15/2024 03:32 AM

Joey Starr a vécu une enfance difficile et il ne s’en est jamais caché. Ce qui ne l’a pas empêché de rebondir dans la vie grâce au rap. Dans les années 1990, le rappeur formait avec Kool Shen l’un des groupes les plus tendances du moment. La renommée de NTTM a même dépassé les frontières de l’Hexagone au début des années 2000 avec ses tubes comme « Saint-Denis style » ou encore « Ma Benz ». Dommage que sa vie sentimentale a été quelque peu mouvementée. Surtout après sa séparation avec la mère de ses enfants. Il faut croire qu’entre eux, les choses sont toujours aussi compliquées.

Joey Starr accusé de violences

Le rappeur a dû faire avec l’absence d’un père, c’est la raison pour laquelle il souhaite que ses enfants ne vivent pas aujourd’hui la même chose. On comprend ainsi sa décision de prendre soin de ces derniers comme la prunelle de ses  yeux.

Grande a pourtant été la surprise de ses fans en apprenant que celui qui s’est reconverti dans le cinéma a été accusé par son ex-femme de violences sur son fils, alors qu’il n’était âgé que de neuf ans au moment des faits. L’affaire a même été amenée devant les tribunaux après une plainte déposée auprès des autorités compétentes.

Son fils est la principale victime

Dès que ces accusations ont été rendues publiques, Joey Starr a répondu avec franchise : « Ne vous inquiétez pas. J’ai l’habitude de me faire démonter gratuitement. Ma plus grosse inquiétude est pour mon fils qui est la vraie victime des relations houleuses que j’ai avec sa mère ». Il a également tenu à adresser un message très clair à ses détracteurs et aux personnes qui n’ont pas perdu de temps pour le juger, alors que le procès par rapport à cette affaire n’a pas encore eue lieue.

Une réponse pleine de sagesse

L’enquête est pour rappel toujours en cours et Joey Starr reste, jusqu’à preuve du contraire, présumé innocent des faits qui lui sont reprochés. En attendant, il n’a pas perdu de temps pour recadrer les haters qui se sont empressés de se jeter sur cette affaire : « Pour les autres, continuez à remuer la merde si ça vous fait plaisir. J’espère juste que lorsqu’il faudra démentir, il y aura autant de participants ».