"Et bibi il va finir le pitch !" : impatient, Yann Barthès houspille José Garcia dans Quotidien

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De son propre aveu, José Garcia est un grand bavard. Mercredi 13 novembre, il l’a lui-même confessé dans Quotidien. « Moi, quand y a un dîner avec moi, un samedi, personne ne moufte, je ne laisse personne parler, je coupe la parole à tout le monde », a-t-il avoué, un peu piteux.

Venu pour la promotion du film Le panache, réalisé par Jennifer Devoldère et en salles le 20 novembre, il s’est (encore) quelque peu perdu en explications alambiquées. En raison de la présence d’une éminente professeure dans l’émission, Yann Barthès lui a demandé s’il était bon en maths. Le comédien a alors répondu : « Très mauvais. C’est dommage, d’ailleurs, car le monde est mathématique. Si j’avais eu plus de connaissances en mathématiques, je ne serais pas là aujourd’hui ! »

José Garcia se disperse en pleine interview, Yann Barthès le rappelle à l’ordre

Yann Barthès a ensuite proposé un petit résumé du film. « Une très belle histoire de dépassement et d’acceptation de soi », selon le présentateur, qui a ensuite enjoint son invité à continuer le pitch. Le concerné s’est alors dispersé. Quand le présentateur de C8 a dit qu’il jouait monsieur Devarseau, un professeur de français, l'acteur s’est mis à rire et plaisanter avec la professeure de mathématiques présente en plateau. En oubliant de décrire son rôle et disant simplement : « Eh oui, c’est bibi ! »

« Et bibi, il va finir le pitch ! » a alors enjoint Yann Barthès, d’un air mi impatient, mi complice. José Garcia a alors repris ses esprits et s’est exécuté. « C’est un très bon professeur, vous allez voir. Très ouvert sur ses élèves et voilà, qui les fait réussir en veux-tu en voilà ! », a-t-il décrit. La bande annonce a ensuite été diffusée à l’écran.

 Un témoignage très émouvant sur le plateau de TMC

Aux côtés de José Garcia sur le plateau de TMC, le jeune Joachim Arseguel, 13 ans, a parlé du bégaiement, handicap dont il souffre et dont il est question dans le film. S’il a confié qu’il pouvait être « vraiment saoulant » que les gens ne le laissent pas terminer ses phrases et les finissent à sa place, il a aussi loué les avantages d’un tel trouble de la parole. « Dans ce monde de fous, ça fait du bien, aussi, parfois de ralentir ».

Des paroles émouvantes, qui ont mis tout le monde d’accord. Même José Garcia. Pour une fois, le comédien est même resté bouche bée.

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