"Eh la régie ?!" : Jamel Debbouze en roue libre dans 20h30, Laurent Delahousse ne sait plus où se mettre
Hier à 01:42 AM
Ce 24 novembre 2024, Laurent Delahousse a reçu sur le plateau de 20h30 le dimanche,un Jamel Debbouze survolté. L’humoriste, présent pour faire la promotion du lancement des spectacles du Comedy Club, est revenu sur plusieurs pans de sa vie. Le journaliste de France 2 a alors tenu à le faire réagir sur les personnalités qui ont joué un rôle très important dans sa vie. “Au cœur des années 2008, il y a aussi une autre forme de transmission. Il y a un couple qui a cru en vous, un peu plus que les autres finalement. Un couple : c’est Bacri et Jaoui”, indique Laurent Delahousse, en faisant référence à Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui.
Mais voilà que l’écran placé devant les deux hommes n’affiche pas la bonne image. Ce à quoi Jamel Debbouze lance : “Eh la régie là, vous dormez ou quoi ? Deux heures à travailler cette émission pour avoir les mauvais synthés, on va te virer toi !”, lance l’humoriste.
Jamel Debbouze engueule la régie de France 2
Laurent Delahousse, visiblement mal à l’aise, a bien eu du mal à continuer à faire son émission. Mais il est vrai que les deux comédiens français ont eu un rôle important dans la vie de Jamel Debbouze.
En février dernier, il était d’ailleurs présent sur la scène des César pour faire un discours émouvant à Agnès Jaoui, qui recevait un César d’honneur. "Agnès Jaoui elle ne se gagne pas facilement, mais quand elle vous aime, c’est pour la vie [...] J’ai une admiration pour sa carrière. Elle fait tout, elle chante, elle danse, elle réalise et elle fait même du ukulélé", a-t-il lancé.
Sa relation privilégiée avec Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri
Mais pour le comédien, écrire un discours pour cette femme qui compte tant a été bien difficile : "Imaginez remettre un prix à quelqu’un que vous aimez autant, devant toute la France, c’est très bizarre à vivre. Pour tout vous dire, je ne voulais pas le faire. Parce que c’est trop d’émotion. J’ai dû forcer ma nature, je pense être très pudique", a-t-il confié au Parisien. "On ne se dit pas' je t’aime' dans nos familles. On s’offre (il avise un verre de soda sur la table)… du Coca. (Il rit.) Parler aussi franchement à Agnès, ce n’était pas un exercice facile".
De plus, l'absence de Jean-Pierre Bacri, décédé en 2021, n’a pas arrangé les choses. "D’autant que Jean-Pierre (Bacri)n’était plus là. C’était encore plus délicat. Mais j’ai vraiment eu le sentiment, ce soir-là, qu’il était là. C’est sûr qu’il était là", a-t-il conclu.