À 44 ans, Enora Malagré dévoile sa plus grosse addiction : "J'en consomme trop"

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En 2017, Enora Malagré a pris une décision qui a marqué un tournant dans sa carrière. Après sept ans de fidélité à Touche pas à mon poste, l’émission qui l’a révélée en tant que chroniqueuse, elle a choisi de tourner la page. Sur les réseaux sociaux, elle s’est confiée avec franchise : « Cela fait plusieurs mois que je me pose des questions sur mon avenir à la télévision et mon avenir dans Touche pas à mon poste. Je crois justement que je n’y trouve plus ma place. Alors je vous annonce ce soir que je vais quitter, que je quitte officiellement Touche pas à mon poste. » Ce départ n’a pas manqué de faire parler, car la belle blonde faisait partie des figures emblématiques du programme depuis ses débuts. Quitter l’équipe de Cyril Hanouna n’était pas une décision anodine, mais elle reflétait un besoin de renouveau pour celle qui, pendant des années, a incarné l’un des piliers de l’émission.

Enora Malagré : le théâtre, son salut

Depuis son départ de Touche pas à mon poste, Enora Malagré a su retrouver sa place sous les projecteurs. Elle brille désormais sur France 5 avec sa chronique dans Le Magde la santé et intervient régulièrement dans La Grande semaine sur M6, animée par Ophélie Meunier. Mais ce n’est pas tout : elle fait aussi vibrer les planches avec la pièce Vive le vent, mise en scène par Philippe Lelièvre, ancien professeur de la Star Academy.

Invitée sur le plateau de C Médiatique le 8 décembre 2024, la quadragénaire a ouvert son cœur sur les défis rencontrés après son départ de C8 : « C’est une descente un petit peu difficile, parce qu’on n’est plus à l’antenne de manière quotidienne, donc le téléphone sonne quand même un peu moins. Il a fallu aussi se reconstruire, se décontaminer aussi un peu de cette image très forte. » Face à cette transition délicate, le théâtre s’est révélé être une véritable bouée de sauvetage : « Le théâtre m’y a aidé. Je suis retourné à mes premiers amours. La transition s’est faite dans la douceur grâce au théâtre », confie-t-elle avec émotion.

Concernant la fermeture annoncée de C8, l'animatrice de radio n’a pas caché son inquiétude pour ses anciens collègues : « C’est toujours triste de voir des copains qui perdent leur travail. Il y a quand même une centaine de personnes potentiellement qui peuvent perdre leur boulot. Ça me touche bien sûr. Il y a beaucoup d’émissions sur C8, il n’y a pas que Cyril Hanouna. »

Enora Malagré se confie sur une grosse addiction

On a tous un petit plaisir coupable qu’on préfère garder pour soi, mais Enora Malagré n’a pas hésité à lever le voile sur le sien. Et surprise, ce n’est ni une gourmandise exotique ni un luxe inaccessible, mais une addiction bien plus courante : le sucre. Sans détour, elle a confié : « Je suis addict au sucre. J’en consomme trop et je n’arrive plus à m’en passer. » Une révélation qui a laissé plus d’un téléspectateur bouche bée, tant ce péché quotidien semble inoffensif à première vue.

Pourtant, la native de Morlaix ne cache pas que cette dépendance lui pose problème. Ce produit omniprésent, qu’on trouve à chaque coin de rue, peut se révéler redoutable en excès, et l’ancienne chroniqueuse de Cyril Hanouna en connaît bien les conséquences. Si son aveu a surpris, il rappelle que même les plus pétillants des personnalités peuvent lutter avec des habitudes difficiles à maîtriser.

Un danger pour ceux qui souffrent de maladies inflammatoires

Dans le documentaire diffusé sur Canal+, Enora Malagré a ouvertement abordé un sujet qui lui tient à cœur : son combat contre l’endométriose. Cette maladie gynécologique chronique lui inflige des douleurs intenses pendant ses règles, une épreuve qu’elle gère désormais avec un traitement hormonal. « À cause de cette maladie, je suis aujourd’hui obligée de prendre un traitement hormonal », a-t-elle confié. Mais ce n’est pas tout : en cherchant à mieux comprendre son état, la comédienne de 44 ans a fait une découverte qui l’a bouleversée.

« J'ai appris avec stupéfaction que l'immense quantité de sucre que je consommais ne pouvait qu'aggraver les maladies inflammatoires dont l'endométriose. C'était un véritable choc pour moi », a-t-elle révélé. En partageant son expérience, elle souhaite alerter sur l’impact de l’alimentation sur la santé, notamment sur les effets délétères du sucre en cas de maladies inflammatoires. Son témoignage résonne comme un appel à la vigilance pour de nombreuses femmes touchées par cette pathologie, qui pourront peut-être adapter leur quotidien grâce à ses mots.

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