"Je dis ce que je pense" : Julien Cohen (The Island) répond aux accusations de misogynie après ses propos polémiques
Hier à 05:50 AM
La diffusion du premier épisode de The Island le 7 janvier 2025 a suscité de vives réactions dans les rangs des téléspectateurs. Notamment à cause des propos jugés misogynes de Julien Cohen. Connu pour son caractère bien trempé, l'ancien acheteur d’Affaire conclue s’est en effet retrouvé au cœur d’une énorme polémique après avoir tenu des remarques qui ont heurté certaines de ses camarades féminines. Dès le début de l'émission, son attitude a détonné et n’a pas tardé à être pointé du doigt par des figures médiatiques comme Nathalie Marquay-Pernaut et Delphine Wespiser.
Les propos de Julien Cohen jugés misogynes
Julien Cohen s’est donc montré sans filtre lors des premières heures de l’aventure dans The Island. Ce qui a particulièrement choqué en raison de son ton condescendant et de certaines de ses déclarations. Dans une scène où plusieurs femmes du groupe s'apprêtent à partir en forêt avec des machettes, il a en effet souligné qu’il trouvait dangereux que les femmes manipulent des outils aussi lourds dans un contexte de survie. « Nous n'avions pas 12 machettes, mais seulement 5. Donc quand on en a si peu, il y a urgence » a expliqué l’antiquaire en donnant l'impression de sous-estimer les capacités des femmes participantes.
L’acheteur d’Affaire Conclue s’enfonce gravement
Ce n’est d’ailleurs pas tout. Julien Cohen a également critiqué la lenteur des femmes à s’organiser au moment de la préparation des cabanes. Il a en effet mis en avant la nécessité d’avoir de « gros muscles » pour mener à bien cette tâche. Autant dire que pour lui, seule la force physique semblait primordiale et il a laissé entendre que les femmes étaient moins adaptées à cet aspect de l’aventure.
Un comportement qui a une explication
Dans une interview donnée à Télé-Loisirs, Julien Cohen a donc fini par réagir à ces accusations. Il s’est ainsi défendu en déclarant qu’il n’avait pas du tout voulu rabaisser ses partenaires féminines. « Je n'ai pas d'amis » a-t-il ensuite affirmé en tentant de contextualiser ses propos. Selon lui, ses remarques s'expliquent par l'urgence et la tension de la situation dans un environnement de survie où chaque geste compte : « J'ai tendance à dire ce que je pense. Et surtout, là, dans l'urgence et quand on est en danger, c'est compliqué de prendre des pincettes. Surtout que nous sommes enregistrés 24h/24 ».
