
Géraldine Maillet fait un aveu de taille sur sa carrière de mannequin : "J'ai été grisée par ce qui m'arrivait"

Hier à 02:56 AM
Si Géraldine Maillet fait parler d'elle en cé début du mois de mars, ce n'est pas seulement pour ses interventions dans Touche pas à mon poste . La chroniqueuse de Touche pas à mon poste , qui a repris sa place dans TPMP après la fin de C8, a en effet réalisé la série documentaire Backstage disponible sur Canal+ Docs et MyCanal. " Je me suis tournée vers des maisons indépendantes car je trouvais intéressant de savoir comment, aujourd'hui, dans le rouleau compresseur qu'est la mode, on peut émerger et vivre en s'émancipant des grands groupes" , explique la réalisatrice et auteure dans le dernier numéro de Closer.
Géraldine Maillet cash sur sa carrière de mannequin
Géraldine Maillet , qui a suivi ces maisons pendant 6 mois, est comme un poisson dans l'eau dans ce monde de la mode. Il faut dire qu'elle a été mannequin il y a plus d'une vingtaine d'années. " Je m'aperçois que rien n'a changé depuis (…) Le business est régi par les mêmes codes et les mêmes fonctionnements" , souligne-t-elle à nos confrères. Elle est par contre moins loquace lorsqu'elle est interrogée sur la violence de ce milieu ; une violence dénoncée par des célèbres mannequins tels que Laëtitia Casta. "Disons que je savais pourquoi je voulais être mannequin : je devais gagner de l'argent pour pouvoir payer mon école de commerce ", indique-t-elle seulement en précisant avoir toujours "regardé ce milieu avec un petit pas de côté" . Mais elle reconnaît malgré tout avoir été "grisée par ce qui lui arrivait" . "Ces voyages, ces rencontres, ce tumulte de créativité… C'est à la fois joyeux et très anxiogène car on ne sait jamais de quoi demain sera fait" .
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Géraldine Maillet et ses problèmes d'argent
Si le mannequinat a permis à Géraldine Maillet d'avoir un beau tremplin dans la vie, l'après-mode n'a pas été si facile financièrement parlant. Celle qui a défilé pour les plus grands pendant une dizaine d'années a connu une baisse radicale de salaire en décidant de se consacrer à l'écriture. " Quand j'ai été mannequin, parce que c'est des métiers précaires, on ne travaille pas plus que 25 ans, parce qu'après on sent le sapin. Quand tu es écrivain, c'est pas le même travail. Pour un défilé, je pouvais être payée par exemple 10 000 ou 15 000 euros pour un défilé. Pour écrire un livre, alors que ça me prenait un an de mon temps, c'était 2000 euros d'à-valoir" , a-t-elle expliqué en 2022 dans TPMP.