Vincent Lagaf' en "mort clinique" : le père de Cécile de Ménibus lui sauve la vie

Un retour très attendu qui aurait pu ne jamais avoir lieu sans le père de Cécile de Ménibus. Le 2 janvier 2025, l'émission emblématique, autrefois diffusée sur TF1, le Bigdil, va faire son retour sur la chaîne RMC Story avec Vincent Lagaf'.Un retour pas vraiment acté lorsque l'animateur se faisait contacter par la production. En effet, dans les colonnes de Télé-Loisirs, celui-ci a révélé qu'il avait posé plusieurs conditions pour rempiler. "Je voulais la barre de pompier, les escaliers, la soucoupe, et Gilles Vautier joue de nouveau Bill. Sans lui, je ne le faisais pas", confiait-il.

Vincent Lagaf' pas voulu par son père biologique

Invité de Guillaume Pley pour le média Legend, Vincent Lagaf' a de nouveau évoqué le retour du Bigdil. Entre ses attentes pour le jeu, et la suite de sa carrière, l'animateur de 65 ans s'est confié sans fard. L'occasion pour lui de révéler qu'il ne ferait plus partie de ce monde sans le père de Cécile de Ménibus.En effet, au cours de l'entretien, le présentateur a d'abord rappelé avoir survécu à un avortement clandestin. "À l'époque, l'avortement était totalement interdit. Quand ma mère biologique a été enceinte de moi, mon père biologique, ou plus exactement ce sale c*n, a dit 'on ne peut pas le garder'", a-t-il rappelé dans un premier temps à Guillaume Pley.Par la suite, Vincent Lagaf' a précisé que son père biologique "était marié, il avait déjà deux enfants, il était son chef". De fait, il a emmené la mère de l'animateur chez "une faiseuse d'anges, qui était une personne qui faisait avorter les jeunes filles""À l'époque, ça se passait à l'aiguille à tricoter et moi, ils ne m'ont pas eu", a rappelé l'animateur du Bigdil. Mais en plus d'avoir pu ne jamais voir le jour, celui-ci a failli perdre la vie quelques années plus tard.

L'animateur sauvé par le père d'une animatrice

"Fin avril, je suis à la clinique du Belvédère à Rouen, ma mère biologique a décidé de me laisser pour adoption, parce qu'elle m'a aimé, elle m'a adoré, elle a fait ce qu'elle a pu pour moi, mais elle n'avait financièrement pas les moyens pour faire les allers et retours pour revenir me voir, surtout que j'étais dans un état lamentable", a d'abord confié Vincent Lagaf'.Avant de poursuivre : "Fin mars, je me retrouve sous oxygène, et curieusement, c'est le docteur de Ménibus, le père de Cécile de Ménibus qui me soigne". Plusieurs années plus tard, le principal intéressé a pu mettre la main sur son dossier médical.Dans celui-ci, il a pu apprendre qu'on l'avait déclaré "en mort clinique" durant la nuit "les lèvres cyanosées", mais qu'il "pétait la forme le lendemain" sans réellement en connaître les raisons. 

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