Vincent Cassel bientôt papa avec sa jeune compagne : l'acteur épinglé en direct, un humoriste y va fort !

A 57 ans, Vincent Cassel va devenir papa pour la quatrième fois. En effet, sa nouvelle compagne, Narah Baptista, de 30 ans sa cadette, a annoncé être enceinte de son premier enfant. Sur Instagram, la jolie jeune femme a en effet dévoilé son baby bump. Le père de Deva, Léonie et Amazonie, va ainsi retrouver les joies de la paternité. Mais voilà qu’un célèbre humoriste, Marc-Antoine Le Bret, n’a pas hésité à ironiser cette annonce.

Sur RTL, il a alors repris une réplique célèbre du film La Haine, dans lequel joue Vincent Cassel : "Salut ouais, c'est moi que tu regardes comme ça Calvi là ? C'est moi que tu regardes comme ça ?", lâche-t-il face à Yves Calvi, l’animateur. "Ne me regarde pas avec autant de désir s'il te plait parce que je ne pourrais pas avoir aussi un enfant avec toi. Ok ?”. 

Un humoriste ironise sur la 4e paternité de Vincent Cassel

L’occasion était alors trop belle pour se moquer gentiment de cette nouvelle paternité : “Je vais encore être papa. Mais quatre gosses, je ne te raconte pas la gueule qu'ils vont tirer à la CAF quand ils vont faire les virements des allocations sur les comptes d'un millionnaire. D'ailleurs j'ai bien fait mes calculs, si je fais encore un enfant, je recevrai chaque mois ce que j'ai touché pour le cachet d'Ocean's Eleven".

"Donc finalement, tout bien réfléchi Yves… On peut dîner ensemble ce soir". Un passage hilarant qui ne fera peut-être pas rire le principal concerné. 

Les confidences touchantes de l'acteur sur les mères de ses trois filles

Pour nos confrères de Madame Figaro, Vincent Cassel n’avait pas hésité à se confier sur sa paternité. Papa de trois filles, l’acteur français était heureux de constater ô combien les mères de ses enfants étaient des femmes “fortes, des femmes qui ne se laissent pas faire, qui sont indépendantes et actives”.

Des confidences touchantes : “Je sais que ce sont des femmes qui ne se considèreront jamais moins bien que les hommes (…) Je vois comment, instinctivement, elles se positionnent, comment elles m’envoient balader par moments, par désir d’indépendance. Ou, au contraire, mes filles me montrent qu’elles ont besoin de moi – ou en tout cas d’une figure paternelle”.

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