"Un calibre sur la tempe" : face à Faustine Bollaert, Greg Yega (Les Marseillais) revient sur son home-jacking traumatisant

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La célébrité n'est pas toujours facile à gérer... et ce n'est pas Greg Yega qui dira le contraire. Depuis son passage dans la huitième édition des Marseillais en 2018, le candidat de télé-réalité est en effet victime de harcèlement.Sur les réseaux sociaux, les critiques à son égard fusent. Mais loin de se laisser abattre, le jeune homme préfère fermer les yeux.

"Je n'ai jamais répondu à aucun message depuis que j'ai commencé. Pour moi, répondre, c'est donner encore de l'engouement, nourrir ça", a-t-il récemment confié à Faustine Bollaert sur le plateau de Ça commence aujourd'hui avant d'ajouter : "Le mec qui va m'insulter, qui va mal parler de moi, c'est une personne que je ne connais pas donc ça ne va pas m'atteindre. Je vais même plus loin en disant que le mec dans sa vie a mis cinq minutes de son énergie pour écrire, que ce soit de la haine ou de la gentillesse, il a pensé à moi".

Greg Yega victime de plusieurs braquages

Bien qu'il préfère ne pas alimenter la rancœur de ses détracteurs, celui que l'on appelle Bebew bénéficie tout de même d'un suivi psychologique.

Pour cause... l'influenceur aux 1,4 million d'abonnés sur Instagram a été victime de trois braquages ces dernières années.

"J'ai eu deux home-jackings, un dans mon salon de coiffure, un chez moi et un devant chez moi", s'est-il souvenu avant d'entrer dans les détails : "J'étais chez moi en train de dormir et ils sont entrés dans ma maison. À ce moment-là, j'ai cru que c'était mon ami Paga, qui habitait avec moi, mais quand je me suis retourné, j'avais un gant en cuir sur les yeux avec un calibre sur la tempe. Là, j'entends : 'Greg ne bouge pas, donne-moi ta montre'." Selon Grégory Yeghiazarian, de son vrai nom, "en France, parler d'argent est tabou". "Moi, j'étais content de montrer ce que j'avais. Je suis influenceur, j'influence les gens. Le but est de partager et de faire 'rêver'. Aujourd'hui, je ne montre plus rien parce que j'ai très peur." De tristes confidences.

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