Stéphane Plaza accusé de violences conjugales : du nouveau dans l'enquête, une garde à vue avant son procès
12/18/2024 03:01 PM
Stéphane Plaza est dans la tourmente depuis quelques mois. Le 9 janvier prochain, le célèbre agent immobilier va comparaître devant la justice à Paris. Il est accusé de “violences habituelles physiques et/ou psychologiques” sur deux anciennes compagnes, Paola et Amandine, entre 2018 et 2022.
Quelques mois avant que l’affaire ne soit révélée par Mediapart, l’ami de Cristina Cordula avait lui-même déposé plainte. En effet, en juin 2023, il avait dénoncé un “harcèlement et cyberharcèlement” de la part de trois de ses ex-compagnes. Si une enquête est en cours, la justice n’a pour l’instant pas confirmé sa version des faits.
Une proche de Stéphane Plaza a été placée en garde à vue
Stéphane Plaza n’est pas le seul à avoir déposé plainte contre ses anciennes compagnes. Deux femmes proches de lui dénoncent également un cyberharcèlement de la part de Paola et Amandine. Selon RTL info, l’une d’elle, Julie G., a été placée en garde à vue ces derniers mois.
Contactée à ce sujet, cette “ancienne compagne” de Stéphane Plaza a révélé que cette mesure avait été prise alors que les deux femmes avaient voulu “se dédouaner” en la présentant comme la responsable. Elle a cependant assuré que “c’est faux”. Et de préciser : “La police a vérifié mon ordinateur et mon portable”.
Une ex-compagne de l'animateur va passer devant la justice
En plus de Julie G., une autre femme proche de Stéphane Plaza a aussi dénoncé un cyberharcèlement. Celle qui est présentée comme Jade C. assure avoir reçu “180 messages anonymes” entre avril et juillet 2023 sur Instagram. Au total, 27 pseudonymes différents l’auraient contactée pour évoquer une relation supposée avec l’agent immobilier et l’accuser d’être victime d’une liaison toxique. Une situation qui l’aurait notamment poussée à arrêter de travailler pendant cinq mois.
Pour le moment, la seule avancée favorable à Stéphane Plaza concerne une autre de ses ex-compagnes. Celle-ci devrait être jugée avec son compagnon le 19 mars 2025 à Grasse. Elle est accusée de tentative de chantage et harcèlement moral. L’affaire doit donc se poursuivre.