"Si vous voyiez leur chambre" : les rares confidences de Sonia Devillers sur ses enfants

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Écrivaine et journaliste, Sonia Devillers fait entendre sa voix tous les matins sur France Inter. Une profession qu’elle exerce avec passion, n’en déplaise à certains détracteurs, qui l’accusent de ne pas laisser parler ses invités.

Côté vie privée, elle partage la vie de l’auteur et journaliste Philippe Collin depuis 2019. Elle a deux fils d’une précédente union. Si elle a l’habitude de tenir son jardin secret, l’autrice du livre Les Exportés a fait une petite exception et a livré quelques confidences sur eux à Libération, arguant notamment qu’elle ne leur avait pas légué la maniaquerie en héritage…

L'appartement de la journaliste rangé, sauf les chambres de ses fils

Pour ce portrait, la journaliste Marie-Eve Lacasse a pu se rendre chez Sonia Devillers. Elle a décrit un appartement parisien au cinquième étage « façonné » à l’image de la journaliste de 49 ans, « sobre et de bon goût », avec de grandes bibliothèques remplies de classiques de la littérature, son diplôme de chevalier des arts et des lettres sur une des étagères et son propre faire-part de naissance, ou son livre en plusieurs exemplaires sur un étagère.

De toute apparence, chez l’animatrice de l’émission Les dessous de l’image, sur Arte, tout est bien ordonné. Mais elle a pourtant révélé qu’à l’intérieur de son appartement parfait, il y avait bien deux pièces qui souffraient d’un certain manque d’ordre : celles de ses fils de 17 et 19 ans : «Si vous voyiez leurs chambres, ce sont de vrais ados. »

Sonia Devillers avoue avoir « une famille compliquée »

Des ados à qui elle n’oublie pas de donner un cadre de vie. Pour la journaliste, les études sont très importantes. C’est pourquoi elle ne les laisse sécher les cours pour rien au monde !

Dans la même interview, elle a aussi révélé venir d’une « famille compliquée » qui a malheureusement fait l’objet d’un horrible trafic d’êtres humains entre 1950 et 1989, quand l’État roumain a « exporté » ses ressortissants juifs, dont la mère, la grand-mère, la tante, et l’arrière grand-mère de la journaliste.

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