"Sa compagne l'a quitté" : Stéphane Plaza en pleine descente aux enfers, un proche raconte

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Stéphane Plaza assistera-t-il à son procès le 9 janvier prochain ? Le 28 août dernier, l’agent immobilier le plus célèbre de France avait fait faux bond aux juges du tribunal correctionnel de Paris. Alors qu’il devait comparaître pour des faits de violences conjugales présumés sur deux ex-compagnes, il ne s’était pas rendu à l’audience. Son procès avait donc été renvoyé.

Dans une lettre de sa psychologue, il était indiqué que Stéphane Plaza présentait "des manifestations psychiques importantes sur un fond de symptomatologie dépressive sévère : angoisses massives, idées noires, troubles de sommeil...". Placé sous contrôle judiciaire, le présentateur télé, qui a toujours nié les faits, semblait au plus mal. Et la situation ne se serait pas améliorée selon nos confrères de Voici.

Stéphane Plaza aurait été plaqué par sa dernière compagne

En effet, c’est seul que l’animateur d’M6 s’apprêterait à affronter l’audience du 9 janvier. Sa dernière compagne devrait être aux abonnés absents. Et pour cause : Stéphane Plaza, âgé de 54 ans, serait célibataire. "Il est au fond du trou. Sa compagne l'a quitté depuis plusieurs mois et refuse même de discuter avec lui, ça l'atteint beaucoup. Alors il reste enfermé chez lui", a confié un proche du présentateur de Maison à vendre auprès de nos confrères de Voici.

Désormais un cœur à prendre, Stéphane Plaza peut toujours compter sur ses soutiens : Karine Le Marchand et Nicolas de Tavernost, respectivement animatrice et ex-patron d’M6. Tous les deux ont toujours refusé d’accabler celui qui officie sur la sixième chaîne depuis 2006.

Deuxième coup dur pour Stéphane Plaza avant son procès

Si Stéphane Plaza a perdu un soutien de taille, il doit aussi faire face à une autre déconvenue. En effet, la justice ne confirme pas que ses accusatrices l’ont harcelé. En septembre 2023, après les révélations de Mediapart, l’animateur avait indiqué dans un communiqué avoir porté plainte trois mois plus tôt contre trois femmes pour harcèlement et cyberharcèlement. Il prétendait être la cible d’actes de vengeance.

L’enquête pour cyberharcèlement devait permettre "d’interroger plusieurs ex-conjointes de l’animateur", avait précisé le Parquet de Paris à l’AFP. Des investigations qui n’auraient pas apporter d'éléments probants pour appuyer les propos de Stéphane Plaza. A suivre.

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