Pour venger leur chat ils achèvent leur chienne d'une manière horrible, les gendarmes face à la pire scène de crime de leur vie

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La sentence est tombée pour un couple originaire de l’Yonne le 4 mars dernier. L’homme a été condamné à 18 mois de prison par le tribunal d’Auxerre. La femme écope de deux ans de détention. Une condamnation conforme aux réquisitions du ministère public, qui avait souligné le manque de "remords" du couple.

Les faits reprochés remontent au mois de mai dernier. Les gendarmes avaient été appelés pour des violences conjugales sur fond d’alcool au domicile du couple. Ils avaient alors découvert un spectacle atroce, digne des plus grands films d’horreur.

Couple condamné pour le meurtre d’une chienne : des actes d’une cruauté sans nom

A leur arrivée au domicile du couple, les gendarmes avaient immédiatement aperçu une chienne morte. L’animal, un dogue argentin, avait été poignardé à plusieurs reprises et décapité à la tronçonneuse. La prévenue, âgée de 31 ans et suivie pour des troubles mentaux, a déjà été condamnée pour des faits de violences.

Les juges ont estimé qu’elle avait maintenu la chienne pendant que son compagnon coupait la tête de l’animal au moyen de la tronçonneuse. Le couple, qui avait le projet de monter un élevage, possédait plusieurs chiens et chats dans un logement de 80 m2.

Couple condamné pour le meurtre d’une chienne : un déchaînement de violence sur fond d’alcool

Devant le juge, la prévenue a donné des explications sur les raisons de cette effroyable mise à mort de leur petit compagnon à quatre pattes. Elle a raconté qu’elle avait découvert le chat de son compagnon mort, tué par la chienne, selon elle. "On était sous le choc. On a commencé à boire, fortement. Mon compagnon m’a dit que c’était de ma faute, car la chienne était à moi. Dans un acte désespéré, je lui ai donné un coup de couteau", a-t-elle tenté de justifier ajoutant : "On avait bu un litre de vodka et deux de bière. Chacun."

De son côté, le prévenu, âgé de 38 ans, traité pour alcoolisme et consommation de stupéfiants, a reconnu avoir "achevé la chienne pour venger son chat". Le supplice de l’animal aurait duré 20 longues minutes selon La Fondation Brigitte Bardot qui s’est portée partie civile dans cette affaire. Les avocats des parties civiles ont dénoncé un "acte de barbarie" et "une brutalité inouïe." 

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