Patrick Bruel : "Pas dormi...", le chanteur prêt à tout pour son fils Léon

https://sf2.closermag.fr/wp-content/uploads/closermag/2024/12/bestimage_00664247_000013-1.jpg

Chez les Bruel, le talent se transmet de père en fils. En effet, Léon, dont la maman est Amanda Sthers, a décidé de se lancer dans la chanson comme son célèbre papa. Avec un nom de scène étonnant, Hesby, qui fait référence à ses deux parents, le jeune homme va tenter sa chance en anglais. "Aux États-Unis, je pars de zéro sans aucun passe-droit", a expliqué Léon, pour Le Parisien, vendredi 13 décembre.

"Mon père n’est pas connu ici et c’est tant mieux, je veux savoir ce que je vaux tout seul. J’ai d’ailleurs choisi mon propre nom. Mon privilège réside dans le fait que j’ai la chance d’avoir ses conseils et qu’il est un artiste que j’admire. La musique est un partage et on a souvent joué, chanté ensemble dans mon enfance."

Patrick Bruel dévoile son angoisse vis-à-vis de son fils Léon

Ce vendredi 13 décembre, il se produisait pour la première fois en concert au théâtre Raymond Kabbaz, à Beverly Hills. Ses parents étaient bien évidemment présents : "Je suis hyperstressée pour lui", a confié Amanda Sthers, au côté de son fils Oscar, et de sa mère Véronique Queffélec.

Patrick Bruel, au fond de la salle, a indiqué :  "Je n'ai pas dormi de la nuit. J’étais en concert hier à Toulouse mais je n’aurais manqué la première scène de Léon pour rien au monde”.Pour Patrick Bruel, ce saut dans le vide a été une vraie réussite. 

"Je suis très fier de mes enfants"

Mais comme tous les parents, le chanteur était très stressé :  “C’est quand même une grande inconnue… Mais il se donne les moyens, il travaille dans son studio, il prépare ses sons, ses chansons, ses cours de comédie”, a-t-il indiqué à nos confrères de Télé 7 jours.

“Je suis très fier de mes enfants, ils grandissent dans un monde qui n’a rien à voir avec celui que j’ai connu à mes débuts, donc je n’ai pas de conseils à leur donner. J’ai simplement essayé de leur inculquer la valeur des choses, en tant que père”. Et hors de question pour lui de le laisser avec cette étiquette de “fils de” : "C’est mieux qu’il se forge son identité le plus loin possible de nous. S’il a besoin de moi, je suis là. Mais je n’ai pas à parler pour lui ou à le faire exister à travers moi"

×