"Pardon, aidez-moi" : Apolline de Malherbe perd pied dès les premières minutes de son interview

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Ce vendredi 10 janvier 2025, Apolline de Malherbe recevait Jean-Philippe Tanguy, député du Rassemblement national sur BFMTV. L’occasion pour la journaliste d’évoquer le cas de l’influenceur algérien Doualemn, arrêté après avoir publié une vidéo appelant à la violence contre les Français.

S’il avait été expulsé de France ce jeudi 9 janvier, voilà que les autorités algériennes l’ont renvoyé sur le sol français. “Là on a un homme qui profère des menaces et des propos mais abominablement haineux à l’endroit de la France et des Français”, commence-t-elle par indiquer avant de poursuivre : “Il est signalé par le maire de… de…”, continue-t-elle, perdant ses mots. 

Apolline de Malherbe cherche ses mots

La journaliste de BFMTV demande alors à Jean-Philippe Tanguy de lui donner un coup de main : “Pardon, aidez-moi… Montpellier, signalé par le maire de Montpellier. Il est immédiatement dans le viseur du ministère de l’Intérieur, interpellé. Deux jours après, il est expulsé. Il y a une forme d’efficacité. Sauf qu’aux portes de l’Algérie, il est renvoyé en France. On fait quoi ?”, demande-t-elle à son invité.

Ce à quoi le député RN tranche : “Il y a des rétorsions immédiates à prendre contre l’Algérie. Le Rassemblement national, Marine Le Pen, les proposent depuis longtemps. Suspension de tous les visas, suspensions des aides au développement et suspension, s’il le faut, des flux financiers”. 

La journaliste pousse son invité dans ses retranchements

Apolline de Malherbe le coupe alors : “Non mais là, il faut préciser les choses : il est Algérien, il n’est pas français, il n’a qu’un droit de séjour”, rappelle-t-elle. Un constat que fait aussi l’homme politique : “On ne peut pas forcer la frontière algérienne, ça n’existe pas. Tout ce qu’on l’on peut faire…”.

Mais une nouvelle fois, Jean-Philippe Tanguy est coupé : “Mais vous feriez quoi ? Vous ne feriez rien de plus ?”. “Le récupérer, c’est une chose, ne pas prendre depuis longtemps des mesures de rétorsions contre l’Algérie, notamment des mesures financières. Le régime algérien est un régime faible, c’est pour ça. C’est un régime qui ne vit partiellement que par l’argent envoyé de la France”, lâche le député RN.

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