Maison, pension alimentaire à quatre chiffres… Ayem Nour dévoile l'accord mirobolant proposé par son ex
Hier à 01:24 AM
Ayem Nour a décidé de se confier en toute transparence sur sa vie dans son livre Toutes celles que je suis, qui va être publié le 4 novembre 2024 aux éditions Leduc. Dans cet ouvrage, l’ancienne star de Secret Story revient sur plusieurs pans de sa vie, notamment son combat pour garder la garde de son fils Ayvin, qu’elle a eu avec l’homme d’affaires Vincent Miclet.
“Il voulait la garde alors que qu’Ayvin et moi vivions ensemble depuis toujours. Être séparée de mon fils était inimaginable et totalement injustifiée”, commence-t-elle par écrire. Ayem Nour dévoile alors ce que lui aurait proposé son ex-mari : “depuis des mois, il me propose un accord. Je résiste”, indique-t-elle, en qualifiant tout de même cet accord de “tentant”.
Ayem Nour : cet accord "tentant" que lui aurait proposé son ex-mari
En effet, la mère de famille dévoile le contenu de ce que lui aurait proposé le père de son fils : “Une maison pour notre fils et moi, un service digne d’une famille royale, une pension alimentaire à quatre chiffres”, écrit-elle. Mais pour obtenir tout cela, Vincent Miclet lui aurait demandé de “fixer (leur) résidence au Maroc et que j’accepte de modifier les modalités des droits de visite et d’hébergement pour mettre en place une garde alternée”.
Une contre-partie qui ne lui va pas : “Or ce n’est pas mon pays : si je le connais pour y avoir passé des vacances, j’ignore si y habiter nous plaira, et surtout, si Ayvin et moi serons capables de nous adapter à ce nouveau mode de vie”, lance la jeune femme.
"Je te propose un essai"
De plus, Ayme Nour indique qu’à ce moment-là, elle reprend un poste de chroniqueuse dans une émission à la télévision. “Le projet me semble compliqué. Mais comme V ne manque pas de moyens, il propose de payer tous mes allers-retours en professionnels, tout en précisant noir sur blanc que ce serait en ‘éco’”.
Cet accord, Ayem Nour l’aurait validé à l’oral : “Je te propose un essai. Ce n’est ni oui, ni non. Ajoute noir sur blanc à cet accord, que, pour un an, et que nous ferons le point à la fin de l’année scolaire de notre fils”, aurait-elle indiqué à son ex-mari.