"Ma banquière…" : Stéphane Bern sur la paille, sa ruine l'amuse plus qu'autre chose

https://sf2.closermag.fr/wp-content/uploads/closermag/2024/09/bestimage_00669144_000048-1.jpg

Il est un grand passionné du patrimoine. Le 18 septembre prochain, Stéphane Berne dévoilera le “Monument préféré des Français”. A cette occasion, l’animateur était l’invité de Buzz TV. Le compagnon de Yori Bailleres est alors revenu sur les différentes dettes qu’il a accumulées après l’achat du Collège royal et militaire de Thiron-Gardais, en 2013.

Alors que l’achat de cette bâtisse lui a coûté  300.000 euros, ce sont surtout les travaux de rénovation qui lui ont coûté très cher : 4 millions d’euros. Et pour tout financer, le présentateur de l'Eurovision a vendu tous ses biens immobiliers, soit un appartement à Paris et sa maison en Grèce. “Ma banquière se dit ‘pourvu qu’il vive longtemps’. Elle a des sueurs froides, et moi aussi !”, lance-t-il. 

Stéphane Bern se confie sur ses dettes

Toutefois, le présentateur de Secrets d’Histoire indique ne pas regretter ce choix. “Les gens me disent ‘merci pour ce que vous avez fait’, et c’est la plus belle des récompenses. Ils me disent ‘merci de sauver notre patrimoine’”.

Pour Ici Paris, Stéphane Bern était revenu sur ses difficultés financières liées à ces travaux : "Je me suis résolu à vendre ma maison de Paros pour poursuivre les coûteux travaux", a expliqué l'animateur. Et hors de question de prendre des vacances : "je risque d'être plus le nez dans les cartons de déménagement que sur la plage !”. 

"Je ne regrette rien"

Pour Le Parisien, Stéphane Bern avait tenu à rétablir une petite vérité : “Je ne suis pas ruiné, comme j’ai pu le lire, et je ne tiens pas à faire pleurer dans les chaumières. Je ne suis pas dans la gêne. Mais je dois quand même faire attention. Je suis obligé de travailler, et sans doute encore longtemps, pour rembourser mes dettes”, relatait-il pour être franc.

“Je m’en suis mis beaucoup sur le dos. Il faut que je rationalise mon patrimoine et c’est pour cela que je vends Paros. Je n’ai pas envie de laisser de dettes après moi. Mais franchement, je ne regrette rien. Avec Thiron-Gardais, j’ai trouvé ce pour quoi j’étais fait dans la vie : redonner vie à un monument historique”

×