Hélène Ségara : "Disparu de la photo...", ses confessions bouleversantes sur sa maladie

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25 ans de carrière, ça se fête ! Hélène Ségara propose un concert pour célébrer sa musique avec son public. Un spectacle qui aurait dû avoir lieu en 2022. Mais à cette période, la chanteuse vit avec de lourds problèmes de santé. En effet, elle est touchée par une dégénérescence maculaire qui la rend en partie aveugle.

Pour nos confrères de Gala, l’artiste a accepté de parler de ce mal qui la ronge et qui a été pour elle “une grande leçon”. “Certaines personnes, sur lesquelles je pensais pouvoir compter, n’ont pas su se montrer présentes”, a-t-elle déclaré avec amertume. “Elles ont disparu de la photo”. Toutefois, Hélène Ségara a pu compter sur sa famille : “Je préfère remercier ma mère, mes trois enfants, d’autres membres de ma famille, mes amis, les deux professeurs qui m’ont suivie”. 

Hélène Ségara brise le silence sur sa maladie

Alors pour elle, chanter en communion avec ses fans est une sorte de renaissance. Ce concert était “une manière de me relever et de clamer : ‘Je n’ai pas dit mon dernier mot !’”. Interrogée par nos confrères de Sept à Huit, Hélène Ségara avait confié ô combien sa maladie avait eu des conséquences sur sa vie : "Je ne sais toujours pas contre quoi je me bats, mais j'essaie tout", expliquait la chanteuse.

"En avril 2013, je rentrais de Russie où j'avais travaillé et je me suis réveillée un matin avec un rideau littéralement devant les yeux en ne comprenant pas ce qui m'arrivait. À partir de là, tout s'est enchaîné. J'ai eu des implants dans les yeux. J'ai eu au total une vingtaine d'interventions". 

Des dizaines d'interventions pour qu'elle ne perde pas la vue

Plusieurs opérations plus tard, Hélène Ségara doit suivre un lourd traitement : "Je me suis aperçue que j'étais en train de perdre vraiment l'un de mes yeux."Des traitements qui vont lui faire prendre du poids.

Constatant "sur les réseaux beaucoup de questionnements sur (ses) changements physiques”, Hélène Ségara avait alors choisi de révéler sa maladie et les médicaments qu’elle doit prendre : “Ce n'étaient pas des petites doses", se souvient-elle. "C'était 1000 milligrammes. Donc forcément, j'arrivais dans un état normal, je sortais, j'étais un pop-corn."

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