Eva Longoria sans filtre sur son ex Tony Parker : "C'était dur"

Une séparation est toujours compliquée, mais dans le cas d’Eva Longoria et Tony Parker, il faut croire qu’ils l’ont très mal vécu. Surtout pour l’actrice qui est revenue sur cette période compliquée auprès de nos confrères de CNN : « C’était déchirant… C’était décevant parce que j’avais une identité, j’étais Mme Parker et une épouse », a-t-elle confié. La comédienne a ainsi admis que ce changement d’identité a eu un impact considérable sur elle : « Quand on vous enlève ça, vous vous dites : “Qui suis-je ?” ».

Eva Longoria très attachée à Tony Parker

Malgré la fin de leur mariage, Eva Longoria a tenu à souligner qu'elle ne garde aucune rancœur envers le célèbre basketteur français. « Il voulait quelque chose d’autre et je ne peux pas le haïr pour ça… », a-t-elle alors ajouté, insistant sur le fait qu’elle ne révèlera jamais publiquement les raisons exactes de leur divorce. Elle a également exprimé de l'affection pour son ex-mari en précisant : « Je l’aime ! Et nous nous parlons encore, nous faisons encore partie de nos vies respectives ».

Une belle histoire qui a marqué la comédienne au fer rouge

Si leur histoire d'amour a pris fin en 2011 après trois ans de mariage, leur relation a profondément marqué Eva Longoria. Notamment en renforçant son attachement pour la France. « Je suis tombée amoureuse de la France grâce à lui ! », a-t-elle avoué. Ce qui a ouvert la porte sur une anecdote amusante concernant Limoges, une ville qu’elle apprécie particulièrement. Amusé par cet amour pour la ville, Tony Parker lui répétait alors souvent : « Tu ne peux pas aimer Limoges ! », une remarque qui les faisait beaucoup rire.

Un attachement avéré pour l’Hexagone

Eva Longoria se souvient également de ses premiers séjours en France, bien avant de rencontrer Tony Parker. « Je suis venue en France pour la première fois quand j’avais 22 ans, avec mon meilleur ami » a-t-elle raconté. Un voyage qui a éveillé en elle un sentiment particulier : « Je savais déjà à l’époque qu’un jour, j’allais vivre en France et épouser un Français ». Elle se souvient ainsi des moments privilégiés qu’elle partageait avec le basketteur. Notamment les dîners qu’ils prenaient chaque soir ensemble, un verre de vin à la main : « Nous sommes tellement occupés dans la journée que le soir, nous avons tellement de choses à nous dire que nous adorons nous déconnecter et discuter à la fin de chaque soirée ».

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