Dropped : "Pas de nos propres yeux..." : Alain Bernard donne des détails déchirants sur le crash d'hélicoptère

Un drame qui reste ancré dans toutes les mémoires. En mars 2015, Anne-Flore Marxer, Alain Bernard, Philippe Candeloro, Jeannie Longo, Florence Arthaud, Camille Muffat, Alexis Vastine et Sylvain Wiltord partent pour l'Argentine. En effet, les huit sportifs ont été sélectionnés pour participer à l'émission de téléréalité d'aventure Dropped. Le 9 mars, lors du tournage du second épisode, une collision aérienne survient entre deux hélicoptères. Au total, dix personnes perdent tragiquement la vie. Parmi eux, la navigatrice Florence Arthaud, la nageuse Camille Muffat et le boxeur Alexis Vastine.

Alain Bernard revient sur les circonstances du drame

Le procès de l'émission Dropped ne devrait pas se tenir avant la fin de l'année 2025, soit plus de dix ans après le crash. Le mardi 8 octobre, Alain Bernard a accepté de revenir sur le drame sur le plateau de Chez Jordan. Il s'est notamment souvenu : "Comme c'est nous qui avions pris l'hélicoptère en premiers sur la première mission, là ce sont les autres qui ont pris le deuxième hélicoptère". La journée de tournage avait déjà mal démarré. En effet, leur départ avait été repoussé pour des questions de sécurité à cause de la météo. "Une fois qu'ils ont vu que les conditions climatiques étaient réunies, ils ont décidé de nous faire partir. Et c'est sur cette première vague de départ que les deux hélicoptères se sont percutés" a expliqué le nageur.

Le nageur n'a pas directement assisté au crash des hélicoptères

Interrogé par Jordan de luxe sur le déroulé du crash, Alain Bernard a révélé : "On ne le voit pas de nos propres yeux". En effet, à ce moment-là, son équipe se trouve à quelques centaines de mètres du lieu du drame. Ils sont alors tous tournés vers leur mini-bus. "On arrive et c'est le drame en fait" s'est-il remémoré. Extrêmement choqués par la mort des athlètes, de l'équipe de production et des journalistes, les survivants sont alors "gardés sur place le temps de l'enquête" et "pris en charge par l'ambassade". Un souvenir encore difficile pour Alain Bernard, qui n'oublie pas les visages des victimes de ce terrible crash.

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