Donald Trump : après avoir menacé Harry, le président américain s'affiche très complice avec le prince William

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Le président américain s’est montré particulièrement complice et n’a pas manqué de compliment pour le prince William. Pour ce qui du prince Harry, Donald Trump avait déjà annoncé qu’il ne le protégerait pas. Que le duc de Sussex se débrouille tout seul si cela ne tenait qu’à lui, avait déclaré Trump, en mars dernier.

Donald Trump s’est montré de loin plus amical vis-à-vis du prince William, le frère du prince Harry, à l’occasion de la réouverture de Notre-Dame de Paris, le 7 décembre dernier. L’événement s’est transformé en un sommet international, comme le rapporte BFMTV. Emmanuel Macron a effectivement accueilli le président américain, Volodymyr Zelenski et le prince William.

Donald Trump : le président américain complimente le prince William

Pour le prince William, 42 ans, la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris était un superbe événement, comme il l’a souligné sur les réseaux sociaux. Le prince de Galles n’a pas manqué d’évoquer sa rencontre avec le président américain Donald Trump, 78 ans, en écrivant : "C'est toujours un plaisir de passer du temps avec Emmanuel Macron et Donald Trump".

Il s’agit vraisemblablement d’un plaisir partagé vu l’attitude de Donald Trump vis-à-vis du prince William. L’époux de Kate Middletton a accueilli le président américain dans le salon jaune de la résidence des ambassadeurs du Royaume-Uni, à Paris. Lançant des compliments au fils de Charles III, Donald Trump a dit :  "C'est un homme bien, celui-là…Il fait un travail fantastique", a-t-il ajouté.

Le président américain était complice avec le prince William, le 7 décembre 2024.

Donald Trump : le président américain pas tendre avec le prince Harry

Lors de leur rencontre en privé, en marge de la cérémonie de réouverture de Notre-Dame de Paris, Donald Trump et le prince William ont discuté pendant une quarantaine de minutes. Les deux hommes ont évoqué les relations entre le Royaume-Uni et les États-Unis et les souvenirs "chaleureux et affectueux" de la reine Elizabeth II, entre autres.

Si le courant s’est bien passé entre le président américain et le prince de Galles, on ne peut pas en dire autant du prince Harry. "Je ne le protégerais pas. Il a trahi la reine. C'est impardonnable. Il se débrouillerait tout seul si cela dépendait de moi", avait assuré le président américain alors qu’il évoquait la consommation de drogues et le visa américain du prince Harry.

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