"Des nouilles dans ton urètre ?" : Gilles Verdez attaqué dans "Quotidien"
Hier à 03:30 AM
Ce mardi 12 novembre 2024, Aymeric Lompret a fait une apparition remarquée sur le plateau de Quotidien.
L'humoriste de 36 ans, invité pour promouvoir la cérémonie des Pics d'Or, un événement organisé par la Fondation Abbé Pierre, a pris la parole en toute fin d'émission.
En l'absence de son collègue Pablo Mira, habituellement présent avec sa pastille Quatre minutes douche comprise, l'humoriste de 36 ans a présenté une chronique improvisée, mais percutante, sur un sujet qui lui tient particulièrement à cœur : le mal-logement.
"La plupart des gens doivent se demander pourquoi il y a un régisseur sur le plateau", a-t-il d'abord lancé avant de se présenter : "Je suis Aymeric Lompret, humoriste vedette. Un humoriste vedette, c'est comme Pablo Mira, mais avec des blagues."
Gilles Verdez dans le viseur de Quotidien
Après avoir ironisé sur le changement de nom de la Fondation Abbé Pierre (L'abbé décédé le 22 janvier 2007 à l'hôpital d'instruction des armées du Val-de-Grâce de Paris est accusé de violences sexuelles, ndlr), le chroniqueur a ajouté : "Je suis là en tant qu'ambassadeur de la fondation, il y en a qui se dise que le budget est en train de baisser pour avoir un régisseur en parrain. Je ne suis pas régisseur".
"Et, maintenant, c'est moi... Dans deux semaines, c'est Gilles Verdez", a-t-il lancé avec conviction après avoir évoqué la liste des prestigieux ambassadeurs.
Puis d'imiter le journaliste présent aux côtés de Cyril Hanouna depuis des années en adoptant un air bête et gaga : "Le logement, le logement... Je vais vous en parler du logement, j'en ai cinq. Je peux mettre des nouilles dans ton urètre ?" Une séquence qui n'a pas manqué de provoquer l'hilarité générale.
Le chroniqueur victime de menaces
Bien que Gilles Verdez soit resté silencieux face à cette provocation, il est évident que le chroniqueur de TPMP n'a pas dû apprécier la blague. Pour mémoire, l'époux de Fatou est souvent la cible de moqueries. Mais cela ne s'arrête pas là. En plus des critiques, il doit également composer avec des "menaces"."J'ai eu des menaces directes. Heureusement qu'avec vos équipes vous étiez là parce que ça a été très compliqué. C'étaient des menaces ciblées, j'ai porté plainte. C'était divulgation de l'adresse avec incitation à cambriolage, à agression, et plus grave encore. La police a été très efficace, elle m'a donné beaucoup de conseils : ne pas rentrer chez soi directement, avant, je rentrais chez moi en transports en commun, maintenant, je suis conduit en voiture par la production. J'étais suivi en voiture à un moment, je devais faire des tours dans Paris avant de rentrer. Mes coordonnées ont été dévoilées", avait-il ainsi confié sur C8. De troublantes révélations.