"Ça fait des années qu'on me crache à la g*eule" : Patrick Sébastien laisse échapper une colère froide face à Cyril Hanouna

10/31/2024 08:09 AM

Patrick Sébastien n'est plus présent à la télévision, mais répond encore à quelques invitations. En ce moment, l'ancien animateur vedette doit assurer la promotion de son livre Le carnaval des ambitieux, aux éditions XO. C'est dans cette perspective qu'il était présent dans On marche sur la tête, le 30 octobre. L'ancien présentateur vedette du Plus grand cabaret du monde s'est exprimé sur tout un tas de sujets. Auprès de Baba, il a notamment parlé en des termes pas très élogieux de « la mode wokiste ». Il a ensuite fait le rapprochement avec ceux qui le « traitent de beauf » depuis des années.

Patrick Sebastien s'adresse à Baba : « Je suis un garçon intègre »

« Beauf, faudrait qu'on m'explique ce que c'est. Je suis un garçon intègre », a-t-il affirmé en marge de son entretien. Patrick Sébastien est ensuite revenu sur sa crainte : se faire traiter de « sexiste, raciste, anti-ça, anti-ça ». D'un même monologue, il a assuré à Baba que les coups tordus et les remarques ne le touchaient « plus du tout » : « C'est l'avantage d'en prendre plein la gueule, c'est que tu te mets des couches au fur et à mesure. Tu peux me bouger un peu, me toucher. Mais alors, me démonter, il va falloir taper très très fort ! »

« Ça fait des années qu'on me crache sur la gue*le malgré ce qui m'est arrivé »

L'interprète du tube Les sardinesassure aujourd'hui s'être bâti une véritable carapace. Comme il l'a expliqué, les nombreuses critiques à son égard lui ont permis de se renforcer. « J'ai tout pris !», a-t-il déclaré au sujet de ces réflexions qu'il a encaissées seul. Dans la suite de l'entretien, celui qui fêtera bientôt ses 71 ans a regretté de n'appartenir à aucune « communauté ». « Si j'étais juif, comme toi, ou si j'étais musulman, si j'étais noir, j'aurais des gens qui me soutiendraient. Mais je n'ai pas de communauté », a-t-il regretté en s'adressant à Cyril Hanouna. Le plus dur à encaisser, pour lui ? Le fait qu'on le critique malgré la terrible épreuve de la perte de son fils. «Les gens qui ont perdu un enfant te le diront, on est dans handicapés sans fauteuil. Et moi, ça fait des années qu'on me crache sur la gue*le malgré ce qui m'est arrivé. Et ça, ça me touche, effectivement », a-t-il concédé.