"Absurde" : Géraldine Maillet pousse un coup de gueule retentissant sur un drame qui la touche de très près
11/21/2024 10:21 AM
C’est sur le plateau de TPMP qu’elle a construit sa notoriété, Géraldine Maillet est devenue un visage incontournable du talk-show de Cyril Hanouna. L’ex-mannequin, devenue auteure, n’a pas sa langue dans sa poche pour dire tout ce qu’elle pense des sujets abordés quotidiennement sur le plateau de C8.
Si elle fait part de ses avis parfois tranchés sur des faits de société, la chroniqueuse reste discrète sur sa vie de famille. Pourtant, elle sort un livre dans lequel elle raconte son expérience de la maladie d’Alzheimer au travers sa grand-mère. Dans Ma minuscule (Ed. Harper Collins), la compagne de Daniel Riolo remercie le personnel soignant, tout en dénonçant un parcours semé d’embuches administratives pour les proches des malades.
Géraldine Maillet rend hommage au personnel soignant
Dans le podcast Censuré de nos confrères belges de Télépro, Géraldine Maillet se livre à cœur ouvert. L’auteure entend publier "une déclaration d’amour aux soignants", estimant vouloir humaniser toutes "les personnes invisibles" qui s’occupent au quotidien des malades.
"C’est dur de s’occuper de quelqu’un qui a Alzheimer. Ce sont des maladies hostiles, difficiles. Il y a de l’agressivité. C’est un monde un peu perché, un peu ailleurs", a-t-elle estimé, n’hésitant pas expliquer, dans son livre, des moments très personnels passés aux côtés de sa grand-mère qu’elle appelle affectueusement Mamie Téti.
Le coup de gueule de Géraldine Maillet contre la charge administrative
Si elle a voulu livrer un témoignage positif par le biais de son livre, Géraldine Maillet a poussé un coup de gueule dans le podcast Censuré contre les méandres de l’administration française. "Tu passes devant les juges. Les juges sont pas forcément humains", a raconté la chroniqueuse au sujet de la demande de mise sous tutelle de sa grand-mère.
"C’est une espèce de gros barnum qui nous écrase. Il faut remplir des papiers avec des questions un peu kafkaïennes, un peu absurdes, du genre : ‘est-ce que votre grand-mère pourrait venir expliquer la situation’", a expliqué Géraldine Maillet qui a rappelé que sa grand-mère n'avait plus toute sa tête et que son comportement n'était plus rationnel. "Je ne la juge pas. Son monde a elle, il est comme ça...", a insisté Géraldine Maillet, toute la bienveillance qu'elle porte à celle qu'elle aime "plus que tout au monde".