A 44 ans, Enora Malagré avoue son addiction à cette substance très répandue : "Je n'arrive plus à m'en passer"

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Tout être humain normalement constitué a son petit péché mignon qu’il garde secret. Que ce soit pour l’alcool, le tabac, la drogue, la nourriture, les achats… chacun a ce produit auquel il ne peut pas résister. Dans le cas d’Enora Malagré, il s’agit d’une substance en particulier qu’on a l’habitude d’utiliser dans notre quotidien. Un condiment tellement répandu qu’on peut trouver dans tous les coins de rue.

Enora Malagré n’arrive plus à se passer de ce produit dont elle est addict

C’est ainsi sans le moindre détour qu’Enora Malagré a avoué : « Je suis addict au sucre. J’en consomme trop et je n’arrive plus à m’en passer ». Une révélation qui en a surpris plus d'un dans les rangs des téléspectateurs. Il faut croire que ces derniers ne s’attendaient pas à ce que l’ancienne chroniqueuse de Cyril Hanouna soit une grosse consommatrice de ce produit dont les excès peuvent considérablement nuire à la santé. Particulièrement à la sienne comme on vous le révèle dans la suite de cet article.

Une addiction qui complique son combat contre l'endométriose

Enora Malagré a également profité de ce documentaire diffusé sur Canal + pour évoquer son combat de longue date contre l'endométriose. Il s’agit pour rappel d’une maladie gynécologique chronique qui lui cause de vives douleurs durant ses règles. « À cause de cette maladie, je suis aujourd’hui obligée de prendre un traitement hormonal » a-t-elle ainsi expliqué. C'est en se documentant que la jeune femme a fait une découverte troublante : « J'ai appris avec stupéfaction que l'immense quantité de sucre que je consommais ne pouvait qu'aggraver les maladies inflammatoires dont l'endométriose. C'était un véritable choc pour moi ».

Un témoignage fort destiné à conscientiser ses fans

En partageant son expérience, Enora Malagré espère sensibiliser le public aux liens entre alimentation et santé. Plus particulièrement aux conséquences de l'excès de sucre sur les maladies inflammatoires. Son témoignage résonne en effet comme un message fort auprès de nombreuses femmes qui souffrent d'endométriose et qui se reconnaissent dans son parcours. Désormais, ces dernières le savent, le sucre et cette pathologie ne sont pas compatibles.

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